le grand tout
AIme
Dans le vaste univers des émotions,
Un sentiment transcende toutes les saisons.
C’est l’amour, pur et puissant, qui s’épanouit,
Comme une fleur qui jamais ne se flétrit.
Il est le souffle qui anime nos cœurs,
La mélodie douce, le chant enchanteur.
Lire plusDeuil
Quelques mois avant sa mort, mon père était apparu dans un rêve. Il préparait son départ. Nous étions là, comme si nous savions tous qu’il allait partir. Il me regarde inquiet et me demande : « que va tu faire quand je ne serais plus là ? »
J’ai pris le temps d’y songer. Songer à ma fragilité psychique, cassante comme le verre, le risque d’une dépression profonde, voir des envies de le rejoindre face à une douleur insurmontable. J’ai songé à tous ca, ce n’était que des peurs et projection. J’ai choisi une autre réponse, parce que songer a tout cela était déjà insurmontable.
Je lui ai simplement répondit : « je vais beaucoup pleurer papa »Qu’est-ce que je peux faire d’autre ? puis je me suis réveillé en sursaut.
Je me réveille rarement pour rien. Il y souvent quelque à retenir d’un rêve, un message a comprendre. Ces mots qui sont sorti de ma bouche, c’était comme si c’était lui qui me les suggérait. C’est la plus grande des vérités. Je ne peux rien faire d’autre que pleurer.
Parce que oui aujourd’hui je ne peux rien faire d’autre que pleurer son absence, parce que oui c’est stupide, mais pleurer, c’est vivre cette douleur, pleurer c’est accepter. pleurer c’est continuer à vivre, malgré la douleur.
Qu’est ce que l’on peut faire d’autre sur terre que d’être connecté à nos émotions ? Subir la peine, le deuil. Mais aussi sourire le plus possible, rire face à l’impromptu et l’incongrue, et être en joie face a ce qui nous anime.
C’est ça être en vie. Le reste ça n’aucune importance Ce rêve, quelques mois avant son départ a été la plus grandes des leçons et la plus grande des forces.
Lire pluspas d’amour pas de haine
Il n’y a pas de haine,
que des mauvaises histoires,
Ya que des cœurs sans ailes,
que des pleures dans le noir,
Ya qu’des fleurs sans soleil,
qui meurent sans son regard,
Ya que mon cœur sans elle,
qui saignent sans espoir.
Il n’y a pas d’amour,
Ya que des cœurs sans chaine,
Des yeux qui jettent le jour
et des regards qui s’aiment,
qui réparent et qui soignent,
ya que des cœurs qui sèment,
Des regards qui m’empoignent,
qui m’entrainent et m’emmènent.
Lire plusDémon de naguère
La tempête magnétique
A la saison changeante,
quelque part dans ma tête
Revoilà la tourmente,
revoilà la tempête,
J’étends la déferlante d’une armée de centaure,
Des angoisses galopantes qui piétinent mon corps.
J’entends le temps qui gronde, quelques parts dans les cieux,
les pensées vagabondes, dans un corps douloureux,
A la monté des ondes, dans un flux chaotique,
on la sent qui gronde, la tempête magnétique.
Je n’en connais pas la force, mais elle sera bientôt sur moi,
Oublie l’homme qui bombe le torse, je suis un morceau de bois,
Attrape-moi avec force, ne me lâche pour aucune raison,
Arrache mon écorce, laisse plier mon tronc.
Je ne suis qu’un pantin, pris dans la tempête magnétique,
J’ai besoin de tes mains, d’une douceur lyrique,
Regarde mon corps qui gesticule, regarde mes membres qui s’agitent,
Mon corps se désarticule, mais le bois ne craint pas la musique.
Lire plusKiki
Elle s’appelle kiki,
difficile à décrire,
Car elle est comme la vie,
Elle est comme un sourire
Elle est comme une envie,
comme la douceur d’une eau,
Qui vient vous rafraîchir, par un été trop chaud.
Lire plus
Tombe a la mer
Dans leurs cœurs de marins,
ce que leurs rires sont beaux,
Dans leurs regards malins,
dans leurs sourires sans mots.
Un voyage délicieux,
mais hélas éphémère,
Car on tombe amoureux, Comme on tombe à la mer.
Lire plusDans un épais brouillard,
un mauvais crépuscule
Comment en un regard,
et pourquoi tout bascule ?
Sa peau douce et foncé,
et ses cheveux d’ébène
Elle m’a fait basculer,
la petit tunisienne
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La fille électrique
Elle a bon cœur aimant,
mais mauvaise énergie.
Lutter contre le vent,
et ruminer sa vie.
Elle est raide comme le bois,
dans un tronc déjà mort.
Elle n’écoute plus les voies
qui peuvent détendre son corps.
Lire plusLa tempête magnétique
Les petits paquets d’ondes de pensées qui grossissent et rapetissent aux grès des flux d’énergies.
Ces messages confus qui viennent à mon esprit se poser quelques parts dans mon cerveau et volent aux grès des vents,
Naissent et font jaillir de nouvelles idées encore et encore. Un flot de pensée incessantes que je peine parfois à faire taire.
Suis je le seul à subir cela ?
Une tempête magnétique encore se lèverait elle de nouveau ?
Je me laisserais porter par les eaux, je ne lutterai pas contre le courant, je me sens trop fatigué pour nager.
Je fais confiance a l’univers au fluide qui coule que je laisserais traverser chacun de mes os.
Ils me traversent de part en part, avec souffrance, mais sans douleur. ils représentent tout et ne représente rien.
Je m’en remets à l’univers, je m’en remet a ces courants.
Il me manipule comme des fils qui me maintiennent comme un pantin, tantôt souple et tantôt rigide et qui évite que je sois totalement désarticulé.
Lutter contre ces fils ne ferait que m’épuiser.
Je me laisserai porté par eux, je laisserais ces fluides faire de moi leur marionnette.
Je m’en remets aux forces de l’univers, j’accepte la perte de contrôle car j’ai confiance.
Cela ne m’empêche pas de rester observateur, et de sourire parfois face à temps de complexité et de beauté.
Je m’affranchis de ce qui m’encombre et des faux problèmes.
Je ne réagis qu’au stimuli réel, c’est-à-dire ceux de mon environnement direct :
Un simple sourire devient alors une caresse infini de l’âme,un carrée de chocolat devient la cigarette d’un condamnée.
Ce que voit mes yeux, ce qu’entendent mes oreilles, ce que perçoivent mes sens.
Eux seuls ont du sens, et doivent me porter, ici et maintenant.
Le reste n’est qu’un maelstrom de pensées sans réalité physique et concrète,
Lire pluspoème de printemps
A l’aube du printemps
Tu as chauffé la terre
De tes rayons puissants
Tu as rompu l’hiver
Lire plusprière du matin
Mon père a décidé, à la fin du printemps
De nous quitter, pour lui il était temps
Il me manque ce con, son départ je l’accepte
Il est encore tellement présent, pourtant il n’est plus là.
Mourir est un non-évènement selon Albert khan
Pour les autres il en est autrement…
Papa de là ou tu es, j’espère que tu es bien. Peut-être que tu observes tout, peut être que tu n’es rien
Même si tu es néant, pourtant je te sens bien,
Tu es la bien présent, je te parle chaque nuit
Je te sens presque serein,
Je te rejoindrais un jour, mais laisse-moi jusqu’à la vieillesse
Laisse mon corps s’user et s’affaiblir, jusqu’à ce qu’il ne soit rien de de bon et aucun espoir de pouvoir à nouveau
Laisser le soleil briller sur ma peau
Manger des tomates,
Nager dans le ruisseau
Toucher l’écorce de l’abre et ressentir sa sève
Passer mes nuits a m’amuser dans mes délires solitaire
Caresser un sein de femmes, et sentir son cœur battre
Y trouver tant de sécurité et d’amour
vouloir lui donner un enfant
Être bon pour les autres, bon pour moi. Être patient et sage, et lâcher prise face à aux émotions d’autrui, qui me paraisse juste étranges, mais ne m’atteignent pas.
Laisse-moi m’indigner face à l’oppression,
Laisse-moi fuir à la colère, pour regagner dans l’oasis d’à côté la sérénité.
Papa, Reinhold Niebuhr , tous les grand penseurs de ce monde, univers, grand tout,
Je vous remercie pour la lumière que vous jetez
Donne-moi le courage de changer ce qui peut être changer,
Donne-moi la sérénité d’accepter ce qui ne peut l’être
Donne-moi la sagesse d’en distinguer la différence.
Guide-moi vers un chemin propice à l’amour, a la paix intérieur, a la joie
Donne-moi la force, la présence d’esprit, la vivance, d’éviter les mauvais sentiers.
Chassez la culpabilité des jours ou je me repose.
Lire pluscoeur gris écarlate
Elle a jeté sur moi
ses yeux gris anthracite
comme de grands charbons froids,
que les flammes plébiscitent.
Croyant voir la tristesse,
d’une solitude de l’âme,
j’ai cru bon dans l’ivresse,
d’y approcher ma flamme.
Lire plusTournesol
plaisir d’essence
En quête de stimulus, et de douceur florale
Hibiscus et lotus, Je cueillerai vos pétales,
Pour adoucir mes verbes, apaiser mon mentale
J’irais pied nu dans l’herbe, caresser le fractale
Lire plusLe planteur d’arbre
Il était une fois un planteur d’arbre,
Déterminé à fait de sa passion son métier.
Dans une immense forêt chaque jour
Il cultivait avec amour,
Lire plusLa neige
Tu sais ma muse, la neige est l’une des choses que je préfère dans cet univers. Je trouve que la neige est merveilleuse, parce qu’elle est éphémère et exceptionnelle comme la vie, fraiche et pétillante comme un verre de champagne, intense et belle comme toi.
Je n’ai su apprécier correctement la neige.
Lire plusL’aigle mouche 2
Je n’appartiens à personne. Libre comme l’oiseau, avide des grands espaces. Mais tu m’as transpercé de ton regard bleu. J’ai vu l’immensité de l’univers à travers tes yeux, un espace infini, un océan plein de lumière et de soleil.
J’ai alors réalisé que je volais confiné dans une grotte, sombre et vide de sens. Dans tes yeux, L’immensité de l’espace et l’univers m’a explosé à la figure. J’ai soudain eu le vertige, j’ai eu du mal à voler. J’ai vu le sol se dérober sous mes pieds. Je me suis noyé dans ton regard.
Être loin de toi me fait maintenant peur, les grands espaces sont vides et si sombres sans ta lumière. Ma vie sans toi n’a plus aucune saveur, aucun gout, aucun sens.
La liberté dans laquelle j’évoluai n’a plus aucun sens.
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