Dans un épais brouillard,

un mauvais crépuscule

Comment en un regard,

et pourquoi tout bascule ?

Sa peau douce et foncé,

et ses cheveux d’ébène

Elle m’a fait basculer,

la petit tunisienne

Ou se trouve l’alchimique,

quel sort m’a elle jeté ?

Ni de par son physique,

ni son sourire discret

Ni dans son air mystique,

ni sa délicatesse

Ni même ses yeux rieurs,

qui cachent quelques tristesses,

Ni même toute sa douceur,

sa joie qui réconforte

 

Aucune phrase ni couleur,

aucun mot d’aucune sorte

Ne peut décrire mon cœur,

et ce qui le transporte

Samagace

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