Papillon de nuit

Papillon de nuit

Papillon sans couleur, sans forme et sans aloi
Sans gout ni même odeur, je vole sans aucune joie
Dans une nuit sans saveur, un vide existentiel
Soudain une lueur, elle est providentielle

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Un chemin, une pause

Un chemin, une pause

Tu sais ma muse, depuis que je suis né, j’ai l’impression de marcher sur un immense sentier, au milieu de la foule. Je ne sais pas vraiment où je vais. J’ai l’impression que les gens non plus ne savent pas où ils vont. La plupart des gens me croisent, m’ignorent, et moi-même je les ignore. Parfois il y a des gens qui se mettent à marcher à mes côtés. Ils se rapprochent, s’éloignent, et parfois, ils s’éloignent si loin que je ne les revois plus jamais. Il m’est arrivé de rencontrer des gens, avec qui j’avais envie de faire une pause et de partager mon pain. Alors on s’arrête sur le côté de la route, et on casse la croute, en regardant les gens marcher.

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Être une vague au milieu des vagues

Être une vague au milieu des vagues

L’univers, infinie complexité,
échappera toujours à ma raison.

Ça lui confère toute sa beauté,
mais ça soulève des questions
Avec mes peurs et mon psyché,
j’ai construit une douce prison
Où je me sens isolé, où mon cœur est sans passion

J’ai beau m’aimer avec le temps, je ne suis pas un robot
J’appartiens à quelque chose de plus grand, quelque chose de plus beau
Je suis une vague dans l’océan, et je le rejoindrai bientôt
Je suis une vague au milieu des vagues, et je me transformerai en eau

Mon cœur est emprisonné, il ne voit plus d’horizon
Il est sur le point d’éclater, mais j’ai un plan d’évasion
N’écouter que mon cœur, et cultiver ce qui est beau
Affronter mes putains de peurs, ainsi ira la vague à l’eau
SC

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Gilet Jaune : revolution

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Histoire de cu

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Nous ne sommes pas des machines

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Mon dieu

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regard

regard

Puis-je un jour me noyer dans ses yeux qui dévoilent, Mille feux qu’on voit briller comme cent mille étoiles, Ces éclats de chaleur qui brûlent comme des flammes, Révélant sans pudeur les reflets de son âme Ses pupilles malicieuses parlent un langage codé Une langue mystérieuse, un dialecte oublié Brillant comme des pépites, ses étranges reflets Comme les tombeaux d’Égypte, cachant mille secrets Samagace

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Gilet jaune

Gilet jaune

Dans l’océan plus de poisson
Et tu bloques la population
En demandant au président
De te redonner plus d’argent.

Tu t’trompes de cause, tu t’trompes de cible
Nos dirigeants, pourtant visibles
L’humanité est en déclin
Et ton souci, c’est faire ton plein.

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Corps à corps

Corps à corps

Les mains dans les mains, dans nos yeux sauvages,

Sur un air coquin, on se dévisage,

Pupilles cristallines, ses yeux de malice,

Pluie de dopamine, je suis son complice,

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Le plongeon

Le plongeon

Dans un calme agité, dans un silence hurlant,

Dans ses yeux délavés, j’ai plongé un moment,

Dans une douce anxiété, dans un calme alarmant,

Le temps s’arrête, figé, un infini instant.

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Amour cruel

Amour cruel

Aime-moi, suis-moi, ne me rejette pas

Barre-toi, fuis-moi, je ne te mérite pas

Serre-moi dans tes bras, attends

Pars et casse toi, va-t-en

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Saisons divers

Saisons divers

Au mois de mai, soleil en fête,
Étincelant.
Dans mon foyer, et dans ma tête,
il pleut souvent.

Au mois de juin, rester à l’ombre, soleil brûlant.
Sur le chemin, il fait si sombre, larmes au vent.

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Être

Être

Être viril mais pas macho.
Être mature mais garder une âme d’enfant.
Être sensible mais ne pas être efféminé.
Être sérieux mais drôle.
Être sexuel mais pas vulgaire.
Être quelqu’un de réfléchi tout en étant spontané.

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Apocalypticodramatic (inspiré de tryo)

Apocalypticodramatic (inspiré de tryo)

Cette drogue est un voyage intérieur.
Je l’ai essayée, pour un nouveau voyage.
J’ai plané jusqu’à l’autre bout de l’univers.
Dans des dimensions que vous n’avez jamais explorées.
J’en ai pris plus pour planer plus haut.

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la bohémienne

la bohémienne

Elle parait si légère,
la petite bohémienne

A travers les 7 mers,
elle n’a plus aucune chaine

Liberté sans frontière,
mais qu’on ne s’y méprenne

Elle revient de la guerre, d’une sanglante arène

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Jeu de maux

Jeu de maux

Je ne lui arrive pas à la cheville, j’en ai ras les bottes plein les baskets, le moral dans les chaussettes, les pieds dans la merde.

Sur le fil du rasoir, je m’accroche, mais ma vie ne tient qu’à un fil et j’en ai marre de tirer sur la corde. Je n’arrive pas à joindre les deux bouts.

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Mon voyage

Mon voyage

Dans cet étrange voyage,
vers des contrées lointaines
Magnifiques paysages,
mais la fin est certaine,
Car à travers les âges,
je vais où la vie mène,

C’est peut-être un mirage, mais je suis capitaine.

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S’aimer soi même : prendre soin de son enfant intérieur

S’aimer soi même : prendre soin de son enfant intérieur

Quel parcours difficile que de s’aimer soi même ! Vous aimez-vous vraiment ? Êtes-vous réellement bienveillant avec vous-même ? Vous parlez-vous avec bienveillance, ou passez vous vos journées à vous insulter ? Voici quelques outils qui vous permettront de vous porter un regard d’amour, qui vous permettront de prendre soin de votre enfant intérieur. Personnellement cela m’a beaucoup aidé. Bien sur ce qui est bon pour moi ne l’ai pas forcément pour tous. Écoutez ce qui raisonne en vous dans l’article qui va suivre, et ne gardez que ce dont vous avez besoin. Paix, amour sérénité.

Être bienveillant envers soi-même : le discours intérieur

Quand vous vous parlez à vous-même, êtes vous toujours bienveillant ? Vous savez, la petite voix intérieure qui vous dit parfois : « T’es vraiment nul(le), pourquoi tu as fais ça ?»

Si il y a bien une personne que vous allez devoir supporter toute votre vie, c’est bien vous-même avant tout. Donc commencez à faire la paix avec vous-même ! Parlez-vous avec bienveillance. Forcez-vous à le faire au moins un peu, chaque jour. Je ne vous demande pas de changer radicalement, je vous demande simplement de faire attention au langage que vous utilisez pour vous définir, que vous avez pour vous-même. Vous savez, la petite voix intérieure qui vous  juge très durement ; vous êtes « une merde »,  vous êtes « bizarre », vous ne parviendrez à rien. Il faudrait essayer de lui donner un autre ton. Par exemple, faites évoluer les phrases suivantes :

  • « T’es vraiment nul(le) tu n’arrives à rien » devient « tu n’es pas parfait, mais au moins tu essayes ».
  • « T’es vraiment horrible de penser ça » devient « T’es vraiment original et bizarre  mais je t’aime bien quand même »
  • « Je suis fatigué de vivre » devient  « mon pauvre chou tu as besoin de réconfort, j’espère que ça ira mieux demain »

Faites preuve d’humour et de compassion envers vous-même, soyez patient avec vous-même, ne soyez pas trop exigeant. Parlez-vous de la même manière que  vous parleriez à votre meilleur ami. Vous ne voulez surtout pas le perdre.

Soyez un père pour vous-même

Quand un père encourage son enfant, il sait que l’enfant peut s’en sortir, même si cela lui paraît infranchissable. Le père a confiance en son enfant. Il l’encourage avant l’épreuve et le félicite ensuite. Quel père indigne dirait à son fils ou sa fille « tu n’arriveras jamais à rien » ?

Ainsi, au lieu de vous dire « je suis nul(le) je vais échouer », dites-vous « je vais m’en sortir, j’en suis capable». Soyez pour vous-même le plus parfait des parents, celui qui encourage, celui qui félicite, celui qui vous permet de dépasser vos propres limites. Par exemple, faites évoluer les phrases suivantes :

  • « Tu n’y arriveras pas » devient « tu en es capable au fond je le sais »
  • « Tu n’es un moins que rien » devient « c’est difficile mais au moins tu essayes »
  • « J’ai peur » devient «  c’est normal d’avoir peur, mais il faut que tu essayes »
  • « J’ai trop peur » devient « ce n’est pas grave, un jour tu en seras capable, j’en suis sûr »

Soyez une mère pour vous même

En cas d’échec ou de déception immense, en cas de tristesse, consolez-vous. Soyez bienveillant envers vous-même. Pardonnez-vous vos erreurs. Parlez-vous en vous apportant du réconfort. Soyez à l’écoute de votre corps et de vos craintes, comme une mère le ferait pour son enfant. Quelle mauvaise mère dirait à son enfant « tu es nul(le) » ? Ainsi, soyez bienveillant envers vous-même, apportez-vous votre propre réconfort, ayez pour vous un amour inconditionnel comme une mère l’aurait pour vous. Soyez à l’écoute de vos émotions, de façon toujours positive. Si vous ne vous aimez pas « bien », c’est-à-dire, de la bonne manière, personne ne le fera pour vous. Par exemple, faites évoluer les phrases suivantes :

  • « Tu es nul(le) » en « Tu as besoin d’un apprentissage intense dans ce domaine si tu veux réussir»
  • « J’en ai marre des gens méchant » en « heureusement qu’il y a des amis bienveillants »
  • « Tu ne mérite pas de vivre » en « je te pardonne mais ne recommence pas, tu te fais du mal quand tu fais ça »
  • « J’ai de la haine contre ce monde, je le juge pourri» en « je vois vraiment les choses en noir aujourd’hui»

Conclusion : la pensée positive

Apprendre voir ce qui est beau en ce monde est essentiel et vital. A commencer par vous-même. Si vous concentrez votre regard uniquement sur ce qui ne va pas, rien n’ira pour vous et cela peut même vous faire glisser vers la dépression. Si vous décidez de voir ce qui est beau dans ce monde et de le cultiver, alors vous développerez vous-même naturellement votre propre bonheur. Je n’ai pas dit qu’il était facile d’y parvenir. Il faut d’abord et à chaque fois traverser une épreuve difficile : s’aimer et s’accepter. Le parcours est semé d’embuche, mais même dans les moments les plus difficiles, il y aura toujours en nous une partie bienveillante, prés a nous tendre la main et à nous entrainer vers la lumière. Amour paix sérénité.


				
				
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Ombre et lumière

Ombre et lumière

Je suis un mage noir,
juge de la destruction
Je suis dans ton histoire,
par réincarnation
Je suis dans ta mémoire,
à coup d’incantation
Subis le purgatoire, par lente combustion,

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