Journée de la femme

A vous toutes, black blanches beures,
autochtones ou étrangères,
Venues d’ici et d’ailleurs,
Habitantes de la planète Terre,
Ménagères ou ingénieures,
Comptables ou bien boulangères,

C’est avec toute ma chaleur, Que j’écris ces quelques vers.

A toutes les femmes qui sans cesse donnent, Capables de bien des sacrifices
Quand l’amour tourbillonne, Comme une mère pour son fils
A se battre comme des lionnes, Vous pouvez lutter comme dix
Que votre amour rayonne, Et que règne la justice.
 
A toutes les femmes que l’on malmène, A toutes les femmes persécutées,
Dans des conditions inhumaines, Je souhaite vous voir évoluer,
Votre lutte n’est pas vaine, Vous êtes beaucoup trop bafouées,
Je m’associe à votre peine, Prêt à combatte à vos côtés,
 
En cette journée particulière, Celle-ci vous est dédiée.
Puissions-nous un jour parfaire, Tous les autres jours de l’année
Il reste du chemin à faire, j’ai moi-même des regrets
J’aurais du plus souvent me taire, Et faire preuve d’humilité
 
A toi la femme au doux murmure, Toujours rempli de tendresse
Je suis caché sous une armure. Et je t’ai prise pour une tigresse
Je me comporte comme une ordure, J’ai peur de toi je le confesse
La phobie qu’à travers ma fêlure, Le néant tu reconnaisses.
 
C’est difficile de dire cqu’on pense, Quand il y a en nous un tourment,
Et quand c’est dit sans bienveillance, Cela est vu comme un jugement
A toute la femme à toutes les muses, Que j’ai parfois bien mal jugée
Aujourd’hui je m’en excuse, D’avoir agi par préjugé.
 
A toutes les femmes à toutes les mères, Je vous dédie ces quelques mots
A toutes ces mamans guerrières, Qui de la vie sont le berceau
Et qui parfois sans l’aide du père, A chaque matin se lève tôt
Vous jonglez comme nourricière, En plus de votre boulot
 
A Toutes les femmes célibataires, Vous êtes remplies de douceur
On vous dit de mauvais caractère, C’est qu’on n’voit pas votre grand cœur
Votre amour n’a pas de frontière, Il est même le précurseur
Des relations les plus sincères, De la voie vers le bonheur
SC